Société : Journées mondiales

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Société : Journées mondiales

21 mars, journée mondiale de la trisomie 21

Pour la première fois en 2012, la journée internationale de la trisomie 21 a été reconnue par une résolution de l’ONU instituant la “Journée mondiale de la trisomie 21”, le 21 mars. Cette date est hautement symbolique en faisant une référence directe aux 3 chromosomes 21 à l’origine du syndrome et de la déficience intellectuelle des patients trisomiques 21. Le but de cette journée est de sensibiliser et d’informer sur ce syndrome. C’est l’une des anomalies chromosomiques les plus fréquentes. Elle concerne environ 1 grossesse sur 400. La prévalence totale des nouveau-nés ou fœtus porteurs d’anomalies congénitales en France est ainsi estimée à 3,3 cas pour 1 000 naissances, soit environ 27 000 cas par an. Parmi ces anomalies, c’est la trisomie 21 qui domine, avec 2 370 cas.

8 mars, journée internationale des droits des femmes, et si on en parlait …

En France, 80 % des aidants de personnes en situation de handicap sont des femmes selon une enquête de l’Unapei. Cette situation impacte fortement leur vie personnelle, sociale et professionnelle. Les femmes aidantes ont-elles le droit, elles aussi, d’être simplement « femme »? La question se pose pour l’Unapei ce vendredi 8 mars journée internationale des droits des femmes. En France, 9,3 millions de personnes soutiennent au quotidien un proche en perte d’autonomie ou en situation de handicap.

2 avril, journée mondiale de sensibilisation à l’autisme

Organisée depuis le 2 avril 2008, cette journée a pour objectif de sensibiliser le grand public à l’autisme qui constitue un véritable défi de santé publique. En France, les troubles du spectre autistique représentent 7 500 naissances chaque année soit entre 0,9% et 1,9% des naissances. Aujourd’hui 100 000 jeunes de moins de 20 ans et près de 600 000 adultes sont autistes en France.

L’autisme fait partie des troubles du neurodéveloppement (TND). Il se manifeste dès la petite enfance (avant l’âge de 36 mois) et a des conséquences à différents niveaux et degrés sur les sphères développementales de l’enfant. Les conséquences ont le plus souvent des répercussions au niveau de l’autonomie, des interactions et de la participation sociales de la personne autiste.